Pour superviser la qualité de l’air intérieur des logements, nous installons 3 capteurs dans le logement :
Le capteur VMC : Les causes d’une mauvaise qualité de l’air sont en partie liées à des dysfonctionnements du système de ventilation. Le cœur de ce système est le caisson VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée) dont l’instrumentation permet d’alerter sur les défauts les plus critiques.
Détecter les pannes du système de ventilation est primordial pour éviter les sinistres et garantir une bonne qualité de l’air intérieur. Nous proposons un service de monitoring capable de suivre en temps réel la pression de la VMC et d’alerter en cas d’anomalie afin de déclencher l’intervention des entreprises de maintenance.
Le capteur d’humidité : D’autres dysfonctionnements indépendants du monitoring du caisson VMC peuvent dégrader la qualité de l’air intérieur. C’est le cas par exemple des entrées d’air ou des bouches d’extraction d’air obstruées ou encrassées, d’une mauvaise conception ou dimensionnement du système de ventilation, d’un détalonnage des portes insuffisant…
Nous équipons les logements avec des capteurs d’humidité relative. Des concentrations élevées d’humidité relative peuvent être le symptôme d’une mauvaise qualité de l’air. Elles révèlent des risques de condensation, de prolifération de bactéries, de développement de moisissures et ainsi de dégradation du bâtiment.
Le capteur de température : Les offres de monitoring VMC et de l’humidité relative sont complétées par un monitoring de la température ambiante. Notre offre permet d’aborder les enjeux de confort thermique.
Elle permet aussi d’adresser les problématiques de surconsommation énergétique liée à une surchauffe par l’occupant ou en assistant les exploitants chauffagistes dans leur mission d’optimisation de la régulation et de l’équilibrage du système de chauffage.